Les figures de style dans la Boîte à merveilles

  1. -« Ma mère, de son côté, connaissait les difficultés de tout le monde, l’état des finances
    de chaque ménage, les dettes qu’il contractait, ses dépenses de chaque jour et la qualité
    de son ordinaire »
  2. -« Nous emportâmes toutes ces douceurs »
  3. -« J’étais reconnaissant à ma mère d’exprimer avec des termes précis, ce qui flottait dans
    mon imagination sous forme d’images vagues, confuses, inachevées ».
  4. -« Cet ensemble baignait dans une atmosphère d’aisance, de quiétude »
  5. -« Toutes les deux avaient connu des temps meilleurs, toutes les deux en gardaient une
    attitude guindée, une distinction désuète »
  6. -« je me glissai hors de cet essaim de femmes pour aller caresser un gros matou étalé de
    tout son long contre le mur »
  7. -« Mon père, il est vrai, parlait peu et priait beaucoup, mais ma mère parlait trop et ne
    priait pas assez »
  8. -« Une des femmes (…) me descendit sous son bras comme un paquet pour me remettre à
    ma mère ».
  9. -« Mes belles robes avaient souffert de la boue ».
  10. -« À vingt-deux ans, elle se comportait comme une matrone mûrie par l’expérience »
  11. -« La campagne parée comme un bouquet sentait le miel »
  12. -« Mais de ta bouche coulent souvent le venin de la médisance, les puanteurs de la
    calomnie, l’odeur de la mort et d’autres germes de destruction »
  13. -« Je vais, me dit-elle, te donner à manger, tu dois mourir de faim »
  14. -« Les objets ne me reconnaissaient plus, ils m’opposaient un visage hostile »
  15. -« L’aînée se contenta du personnage de la negafa, une de ces femmes expertes dans
    l’organisation de telles cérémonies »
  16. -« Elle refusa poliment, déclara que ce thé était déjà un véritable printemps »
  17. -« Il a peu de clients, mais beaucoup d’amis »
  18. -« Des torrents de larmes lui inondèrent le visage »
  19. -« Seuls, nos pas, le froufrou de nos vêtements, nos souffles pressés animaient cette ville
    morte »
  20. -« La pièce reprit son aspect de tous les jours. Un rayon de soleil anima les mosaïques
    décolorées »

Accumulation : énumération détaillée des connaissances de la mère concernant les finances et les habitudes des ménages.

Métonymie : « douceurs » représente les friandises ou sucreries emportées.

Antithèse : contraste entre les « termes précis » de la mère et les « images vagues, confuses, inachevées » du narrateur.

Métaphore : l’ensemble « baignait dans une atmosphère d’aisance, de quiétude », suggérant une ambiance paisible.

Parallélisme : répétition de la structure « toutes les deux », renforçant la similitude entre les deux femmes.Métaphore : « essaim de femmes » compare les femmes à des abeilles, suggérant leur grand nombre et agitation.

Antithèse : opposition entre le père qui « parlait peu et priait beaucoup » et la mère qui « parlait trop et ne priait pas assez ».

Comparaison : « comme un paquet » compare l’enfant à un objet manipulé facilement.

Métonymie : « robes » représente ici l’apparence générale, touchée par la boue.

Comparaison : « comme une matrone mûrie par l’expérience », évoquant le comportement mature de la femme.

Personnification : « La campagne […] sentait le miel », attribuant un parfum à la campagne.

Métaphore : « de ta bouche coulent… le venin… les puanteurs », compare les mots méchants aux éléments destructeurs.

Hyperbole : « mourir de faim » exagère l’état de faim du personnage.

Personnification : « Les objets ne me reconnaissaient plus », les objets sont décrits comme des êtres doués de perception.

Périphrase : « la negafa » désigne indirectement une femme experte en organisation de cérémonies.

Métaphore : « ce thé était déjà un véritable printemps », comparant le thé à une saison agréable et riche.

Antithèse : contraste entre « peu de clients » et « beaucoup d’amis ».

Hyperbole : « Des torrents de larmes » exagère l’intensité des pleurs.

Personnification : « cette ville morte », la ville est décrite comme si elle pouvait être vivante ou morte.

Personnification : « Un rayon de soleil anima les mosaïques », attribuant une action de vie au rayon de soleil.

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